Rocks Off - L'histoire des Rolling Stones en 50 chansons

En attendant vos commentaires après la sortie du bouquin version française en septembre 2015.

Je suis en train de lire ce Rock Off et y a comme un gros plantage à la toute fin du chapitre sur I am waiting, l'auteur (ou le traducteur) attribue (en les citant) les paroles du For what it's worth de Buffalo Springfield à Mick Jagger (et à I am waiting).
Ça fait désordre et me donne envie de revendre le bouquin illico.

Rocks Off : L'Histoire des Rolling Stones en 50 Titres! Surprenant et sidérant!

Bill Janovitz* nous plonge dans la vie intime des Stones avec cet ouvrage vraiment original en nous faisant participer à la saga du groupe a travers les 50 chansons les plus représentatives!
Initialement édité en Juillet 2013 en langue anglaise il nous arrive traduit par notre ami Sam Cuesta, bien connu des amateurs de Rock Music ( Ferré, Punk Americain, Nirvana, Jeff Buckley, etc…). Bill a disséqué totalement les piécettes élaborées par les cinq hommes durant leur longue carrière, de Tell Me (You're Coming Back) en juin 1964! jusqu'à Bigger Mistake en 2004 et Plundered My Soul, titre exumé de Exile en 2009!!
Alors voulez vows connaitre, les secrets de Brown Sugar, Child of The Moon, ou 2000 Light Years From Home!    - Jean Luke

*Chanteur et guitariste du groupe Bostonien Buffalo Tom (Une dizaine d'albums à leur actif), Bill est fan du groupe depuis des années et nous a offert une magnifique reprise de Spider and the Fly en 1995








Edit michel : on fusionne !

Rocks Off OU L'histoire des Rolling Stones en 50 titres, le bouquin de Bill Janovitz n'a pas attiré beaucoup de commentaires sur ce forum depuis 2015.
C'est dommage, j'y ai découvert beaucoup d'infos et surtout un véritable point de vue sur nos pierres favorites.
Des morceaux comme Moonlightmile, Let it loose, All About you sont particulièrement décrits et RESSENTIS.
Janovitz a une théorie intéressante: depuis Some Girls, ce sont les ballades chantées par Keith qui abritent l'âme et le coeur du groupe.

Je suis presque d'accord avec çà jusqu'à Blue&Lonesome .
Parce que, cet hommage au blues est, à mon humble avis, mené par Mick Jagger, très loin devant Keith et les autres.
On y ressent le vrai "esprit" des Stones, celui qui  a commencé à battre sur le quai de la gare de Dartford en 1962
quand Mick et Keith se sont retrouvés après s'être longtemps perdus de vue.

stadium a écrit:

le quai de la gare de Dartford

Je suggère de mettre ce quai au Patrimoine Mondial de l'Unesco
ou tout au moins décider que c'est la 8ème Merveille du Monde

Citation :

Janovitz a une théorie intéressante: depuis Some Girls, ce sont les ballades chantées par Keith qui abritent l'âme et le coeur du groupe.
Je suis presque d'accord avec çà jusqu'à Blue&Lonesome .

Plutôt d'accord avec la théorie de Janovitz moi aussi, même si je ne fais commencer le vrai déclin des Stones qu'après Tattoo you.
Depuis, les albums sont presque inécoutables.
A peine peut-on trouver un titre par ci par là qui tient la route : New faces, Back of my hand, Plundered my soul (dont le bouquin parle très bien là aussi)...

Mais, côté Keith, ça reste plutôt bien.
On peut lui reprocher de tourner un peu en rond dans son style mais qu'importe tant que le résultat est agréable.
D'ailleurs, quand j'ai découvert la discographie solo de Keith (sur le tard), je pensais retrouver beaucoup de morceaux dans cet esprit-là.
Et j'ai été surpris de constater qu'il y en avait peu.
Ses albums solos m'ont paru très médiocres d'ailleurs.

Pour ce qui est de Blue and lonesome, je ne partage pas ton enthousiasme.
Je n'y ai pas trouvé grand intérêt et ne l'ai pas repassé une seule fois depuis qu'il est sorti.

Je suis sidéré en lisant ces commentaires péremptoires : J'ai commencé à écouter nos Stones en 70 j'avais 13 ans et j'ai acheté tous les vinyles précédant "Get yer ya ya's out" !

En ce qui me concerne, la meilleure période est celle avec Mick Taylor... le déclin arrive avec Ronnie Wood (qui ,soit dit en passant, joue nettement moins bien qu'avec les Faces), et Black and Blue mais cela ne m'empêche pas d'écouter les albums suivants et d’apprécier certains morceaux ici ou là...

être rock c'est être péremptoire...